Le mercredi à 14h15
Salles Saint-Nicolas, 2 rue du Grand-Ferré, Compiègne |
Description
Le propos de cette série de conférences est de raconter quelques moments de l’Histoire qui ont profondément marqué Compiègne au travers de siège, d’invasions ou de destructions.
Cliquez sur les photos pour les voir en grand.
1430, le siège de Compiègne par les Bourguignons (20 mai-25 octobre 1430).
Durant ce siège de cinq mois, l’épisode de la capture de Jeanne d’Arc ne dura qu’une journée, et sans l’opiniâtreté de Guillaume de Flavy et les ruses de l’armée de Charles VII, Compiègne aurait été prise.
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1814-1815, Compiègne face à l’invasion des alliés
En avril 1814, Compiègne fut le théâtre d’une des dernières « batailles » de la campagne de France contre un ennemi dix fois plus nombreux, puis le témoin de la restauration de la royauté en présence d’un Louis XVIII qui montra sa détermination à ne pas concéder un régime parlementaire.
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1914, Compiègne occupée et libérée
Après la déclaration de guerre du 3 aout 1914, Compiègne va être occupée par les troupes allemandes du 31 aout au 12 septembre qui projettent d’y installer leur grand quartier général. Les combats et la victoire de la Marne vont refouler les ennemis, mais ceux-ci se retrancheront à quelques kilomètres de la ville pendant le reste du conflit.
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1918, Compiègne au centre des combats
Compiègne, devenue ville hôpital et Grand quartier général français en retrait de la zone des combats, voit se rapprocher la menace d’invasion dès la fin mars 1918.
La Ville va être ainsi sous le feu de l’artillerie ennemie pendant 6 mois, jusqu’à l’offensive alliée, puis la signature de l’Armistice à la clairière de Rethondes.
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1940, Compiègne dans la Bataille de France
De nouveau Compiègne se retrouve dans la tourmente des batailles de mai 1940 ; fin mai, la ville est bombardée à plusieurs reprises et le centre de la ville n’est plus qu’un champ de ruines; le 22 juin, Hitler vient à Compiègne pour conclure un armistice avec le gouvernement français.
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